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ENIC-NARIC France : nouvelles mesures pour les demandes de reconnaissance de diplôme

Le centre ENIC-NARIC France, en collaboration avec la direction de France Éducation international, entreprend une transformation significative de son système de gestion, notamment avec la mise à jour de l’outil Phoenix. Cette initiative résulte de l’augmentation de 20% des demandes de reconnaissance de diplômes, un indicateur clair de la croissance de la mobilité internationale et de l’attractivité de la France. 

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Nouvelles fonctionnalités

La version améliorée de Phoenix est conçue pour gérer efficacement le volume croissant de demandes, principalement liées à la poursuite d’études, la recherche d’emploi et la naturalisation. Le centre ENIC-NARIC France travaille en étroite collaboration avec le pôle d'innovation numérique (PIN) de France Éducation international et un agent dédié, pour assurer la mise à disposition d’un outil de gestion sécurisé, ergonomique et conforme aux attentes des utilisateurs. 
 

Cybèle : l’agent conversationnel multilingue

Le centre ENIC-NARIC France continue sa digitalisation en optimisant Cybèle, un agent conversationnel intelligent. Capable de répondre en 18 langues, Cybèle vise à automatiser les réponses aux questions fréquentes, améliorant ainsi l’expérience utilisateur. 
 

Gestion optimisée des flux de données

Afin de répondre à l’augmentation des demandes, le centre ENIC-NARIC envisage de fermer la plateforme Phoenix pendant les vacances scolaires en Île-de-France et lors de l’atteinte du nombre maximal de dossiers. Ces fermetures temporaires permettront d’améliorer la qualité du service public proposé.  
 

Nouvelle tarification 

Depuis le 3 janvier 2024, le coût pour une attestation de comparabilité ou de reconnaissance de période d'études passera de 70 à 90 euros. Cette révision tarifaire est nécessaire pour maintenir la qualité du service face à l’augmentation des demandes. Conformément aux engagements de la France concernant l’article VII de la Convention de reconnaissance de Lisbonne, la gratuité du service reste cependant en place pour les réfugiés, les demandeurs d’asile et les bénéficiaires de la protection subsidiaire ou temporaire.