Les ouvriers sont dans l’ensemble satisfaits de leur sort. Ils sont peu payés, mais apprécient la sécurité de leur emploi. Ils jouissent d’avantages enviés mais ils doivent satisfaire à des obligations très strictes, imposées par les arrêts royaux. Ils ne peuvent « quitter la Manufacture avant d’avoir averti six mois à l’avance, et avoir obtenu la permission par écrit, signée du directeur, à peine de cinq cents livres d’amende ». Enfin, défense leur est faite « de travailler de leur art pour une autre Manufacture de porcelaine à peine de mille livres d’amende et de plus grandes peines, s’il y échet. »
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