Gustave Monod - Une nouvelle idée de l'école

Une certaine idée de l’école travail attrayant et aisé, mais du travail austère et pénible ». 30 Publiées au moment de la conférence de Munich (29-30 septembre 1938), ces instructions ne furent pas appliquées à temps et il faudra attendre la Libération pour que d’autres les remplacent. Et c’est encore Gustave Monod, pédagogue « …jamais las de guetter la lueur de l’espérance », cette fois aux commandes de l’enseignement secondaire, qui les mettra en chantier. « En juillet 1939, nous étions bien décidés à continuer, nous en avions l’autorisation, toutes les forces actives capables de nous soutenir étaient derrière nous, mais nous fûmes interrompus par la guerre. » 31 Gustave Monod 41 30Idem, p. 205 31 Louis Cros (sld), Un pionnier en éducation : Gustave Monod - les classes nouvelles de la Libération, hommage collectif rendu par Georges Canguilhem, Jean Delannoy, Jean Ferrez, Louis François [etc], Comité universitaire d’information pédagogique, Paris, CUIP-CEMEA, 1981, p. 86 Marcel Abraham, directeur de cabinet, et Jean Zay, ministre de l’Éducation nationale et des Beaux- Arts

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