Le CIEP et son histoire

28 Vivre à l’École normale supérieure Les Sévriennes se réveillaient à cinq heures et de demie en été et à six heures et demie en hiver. Aucun chauffage n’était prévu dans les chambres. Les lampes à huile avaient été remplacées par des appareils à gaz qui s’allumaient du couloir et marquaient ainsi, avec des bruits d’explosion, l’heure du couvre-feu ou du réveil. En dehors des heures de conférence, les élèves devaient travailler dans les salles d’étude. À une demande de stores pour des chambres situées au midi, il fut répondu : « Si les instructions données par Madame la directrice sont observées, les élèves travaillent toute la journée dans les salles de classe ou d’étude et il n’y a pas lieu de les garantir contre le soleil dans des chambres où elles ne doivent passer que la nuit. » Stagiaire dans une classe du secondaire, lycée Le réfectoire

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